De 2012 à 2015, David Zérah parcourt différentes manifestations et festivals de musique électronique avec l'intention de capter des gestes intimes dans des contextes festifs. Il observe la multitude des personnages qui dansent s’agitent et vibrent autour de lui comme un espace personnel intime. Cette vision photographique est une introspection dans son imaginaire à la recherche d’un « déjà vu » intime. Il s'agit pour lui de comprendre le sens de la relation à autrui comme origine de tout lien.